[LE COLLECTIF 88% DEMANDE À ÊTRE ATTAQUÉ POUR DIFFAMATION]
Par leur communiqué et l’accusation de diffamation qu’ils font publiquement peser sur le Collectif 88%, MM. Nicolin et Peyron indiquent ainsi (volontairement ou inconsciemment) à toute personne qui souhaiterait s’exprimer que les communications publiques, qui déplairaient aux édiles, peuvent être attaquées en justice. De quoi faire régner l’auto-censure.
Le Collectif 88% demande à M. Nicolin et M. Peyron, de joindre les actes à la parole, et de poursuivre le Collectif 88% pour la réalisation et la diffusion de la vidéo qu’ils mettent en accusation.
Que la justice clarifie ce qui relève ou non de la « politique de la terreur », accusation portée dans la presse par M. Nicolin à l’encontre du Collectif 88%.
Que la justice clarifie quel est l’espace de la liberté d’expression et d’information et ses limites diffamatoires.
Que la justice fasse connaître aux citoyens leur véritable capacité d’expression publique.
Qu’ils fassent vite : en général, le délai de prescription en matière de diffamation publique est de 3 mois à compter des faits.
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COMMUNIQUE COMPLET A LIRE CI-DESSOUS :
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Dans la presse :
[À LIRE DANS Le Progrès Roanne]
”Dans un communiqué publié ce dimanche 12 mai, le Collectif 88 % demande à Yves Nicolin et Éric Peyron de «joindre les actes à la parole».”
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