Nous n’avions pas deux heures mais ce petit débat plante les germes de 2 visions qui s’opposent.
L’une qui pense qu’au nom du droit aux rêves nous ne devrions rien limiter (ou si peu) et ne pas renoncer à certains modes de vie,
l’autre qui pense qu’en raison de l’urgence écologique et sociale, il est nécessaire de revoir certains rêves et certains modes de vie.
VASTE DEBAT que nous n’avons qu’effleuré mais qui touche du doigt des questionnements fondamentaux dans un monde ultralibéral qui court après la croissance perpétuelle en générant de nouveaux désirs, de nouveaux rêves…à vendre.